En hiver, notre organisme est mis à l’épreuve, tant par les baisses de température que par les excès des repas de fin d’année. Il a été mis en évidence par des chercheurs suisses que certains facteurs de risques cardiovasculaires augmentent en hiver.
Le froid induit une mobilisation énergétique plus intense afin de maintenir notre température corporelle. Le cœur consomme plus d’oxygène et bat plus vite. Les vaisseaux se contractent pour favoriser l’irrigation des organes. Le froid est source de déshydratation, il réduit la fluidité du sang et demande plus d’effort au cœur pour fonctionner.
L’hiver est aussi très redouté par les personnes atteintes du Syndrome de Raynaud. Ce syndrome induit un dérèglement du flux sanguin surtout au niveau des extrémités du corps. Il provoque des sensations désagréables, voir très douloureuses de picotements et d’engourdissements.
Bien s’hydrater et trouver la bonne façon de se réchauffer sont essentiels. Si cela ne suffit pas des solutions naturelles existent, telles que la consommation d’oméga-3. Parmi eux, l’EPA et le DHA qui contribuent au maintien d’une pression sanguine normale à la dose journalière de 3 g.
Les repas riches de fin d’année augmentent le risque cardiovasculaire. Nous avons tendance à manger plus, plus gras et plus sucré et la saison ne nous encourage pas à l’exercice physique. Les mauvaises graisses accumulées vont se loger dans les artères et risquent d’empêcher la circulation. La consommation excessive d’alcool souvent liée à ces repas est un facteur aggravant et peut provoquer des troubles du rythme cardiaque.
Cependant, il est possible de prévenir la plupart des maladies cardiovasculaires en s’attaquant aux facteurs de risque. Notamment en changeant nos comportements à cette période de l’année : mauvaise alimentation, tabac, sédentarité et consommation excessive d’alcool.
Il est l’un des acides gras essentiels. C’est-à-dire que le corps humain en a besoin et ne peut les produire lui-même. Il doit être apporté par l’alimentation.
L’EPA oméga-3 est un précurseur de médiateurs, s’apparentant à des hormones qui participent à l’équilibre du système immunitaire, de l’inflammation, de l’hémostase et de la circulation.
Ils participent également à la thermogenèse, processus qui permet de réchauffer notre corps et, par conséquent, de se protéger en cas de basses températures.
L’EPA oméga-3 contribue à l’équilibre des triglycérides* et au fonctionnement normal du cœur.
Les sources alimentaires d’oméga-3
En Chine, la levure de riz rouge est traditionnellement utilisée pour la digestion et la circulation sanguine. En France, elle est utilisée dans les compléments alimentaires pour le maintien d’une cholestérolémie normale.
La monacoline K est l’actif naturel de la levure de riz rouge. Elle est capable d’inhiber l’enzyme de production du cholestérol du foie. C’est donc par ce mécanisme qu’elle agit sur la cholestérolémie.
Le Laboratoire Dielen a formulé une gamme de compléments alimentaires appliqués à la santé cardiovasculaire.
MOLVAL® est l’association originale d’acides gras oméga-3 et des peptides marins bioactifs Gabolysat®. Les Oméga-3 EPA et DHA de l’huile de poisson contribuent à une fonction cardiaque normale. L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 250 mg d’EPA et de DHA. Peptides bioactifs Gabolysat® brevetés par le Laboratoire Dielen.
MOLVAL® FORT est une association innovante qui contribue à l’équilibre du cholestérol. La monacoline K issue de la levure de riz rouge contribue au maintien d’une cholestérolémie normale. L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 10 mg de monacoline k. Le coenzyme Q10 est un antioxydant naturel. Les Oméga-3 EPA et DHA de l’huile de poisson contribuent à une fonction cardiaque normale. L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 250 mg d’EPA et de DHA.
*L’effet bénéfique est obtenu par la consommation journalière de 2 g d’EPA et de DHA.